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Ein SoF
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   Posté le 10-10-2006 à 20:39:46   Voir le profil de Ein SoF (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Ein SoF   

Si vous aimez dite le moi s'il vous plait.Je viens juste de rentrer dans ce forum et ce texte est le premier que j'ai d'autres suivront, celui ci n'est que l'introduction.Si vous pouviez mz dire ce que vous en penser cela m'aiderait énormément ou donnez moi des idées, comme vous voulez mais ne repartez pas sans rien dire merci.

Le vent chante et siffle à travers les feuilles des arbres. Le silence est pesant quand la douce brise de la nuit s’arrête en faisant pesé un silence lourd de sens et d’avenir arrêtant le temps et la vie autour de cet endroit magique. Là ou une vie humaine s’était échappé, envolé, dispersé dans la nuit vers le ciel et son silence.
Le cœur battant, Léo tenait dans ses deux mains la tête de sa tendre aimée, de l’amour de sa vie. Il jouait avec une de ses mèches blondes souillées de sang séché qui craquait sous ses doigts. L’esprit vide il attendait que la mort vienne le chercher comme l’avait dit le grand messieurs. Il attendait la tête vidée de toute expression, le regard vague, l’esprit finissant de sombrer dans le gouffre de la folie ou il était tombé.
Le jour commença à se lever en même temps que lui les mouches attirées par l’odeur du cadavre vombrissaient autour de lui se demandant en même temps si il était autorisé à le manger lui aussi.
Il attendait toujours immobile quand le soleil finit d’apparaître, il fut comme réveillé, il commença à bouger, et regarda avec effroi la tête livide qu’il tenait entre ses mains, il la regarda avec stupeur comme s’il venait de comprendre ce qu’il venait de commettre, il hurla,
une lame de rasoir se ficha dans sa gorge mais il continua,la douleur s’intensifia jusqu’à devenir insupportable ; il arrêta, des larmes lui coulait sur les joues nettoyant son visage prenant une couleur grisâtre. L’homme.
L’homme lui avait menti. Il n’ira pas au paradis avec Silvia, non Silvia et lui ne vivront pas heureux au paradis. Silvia était morte et il l’avait tué à cause de lui. Il lui avait de que pour les bons la vie éternelle au paradis était promise. Il était bon, gentil avec sa maman et les quelque bêtises qu’il avait faite, il les avait avoué au messieurs pour après vivre avec Silvia qu’il aimait, il avait tout fait alors pourquoi n’était-il pas au paradis avec Silvia ??
Il savait que Silvia était bonne car il l’aimait et le messieurs lui avait bien dit que quand deux gens s’aiment ils sont obligatoirement bons, mon fils, il avait ajouté Léo ne savait pas pourquoi l’homme l’appelait mon fils, il ne l’était pas il en été sûr ses parents
l’avaient abandonné après avoir su ce qu’il avait et ce qu’il étaient.
Alors pourquoi ? Pourquoi ?
La réponse lui sauta aux yeux : l’homme lui avait menti. L’homme en robe celui qui avait parlé devant pleins de personnes, il l’avait impressionné par son air serein et tranquille, il l’avait cru tout ce qu’il lui avait ses vêtements et sa grande croix en or autour du cou aurait suffi à le convaincre. L’homme lui avait menti, trompé et avait abusé de lui en lui racontant des mensonges, des fausses histoires pour l’amené à faire des bêtises…
Mais…mais alors… Les autres personnes qui l’écoutaient avec lui et qui croyaient eux aussi à ce que disait l’homme, impressionnés tout comme lui par son air calme et sa croix en or, ils allaient eux aussi faire des bêtises comme lui il bougea pour la première fois depuis qu’il l’avait fait.
Il devait pour le bien de la ville faire arrêter l’homme, le plus vite possible avant que d’autre tombent dans son piège diabolique.
Il se senti bien ce ne lui été pas arrivé depuis longtemps, il avait une mission et il était prêt a tout pour la réussir, il fallait vengé Silvia.
Il se leva, ses jambes fléchirent sous son poids, il se rendit compte qu’il était resté immobile très longtemps. Il entendit les oiseaux, le vent qui chantait et sifflait à travers les feuilles des arbres. Il fit quelques pas et senti des élancements de douleurs dans les jambes. Il était prêt pour sa mission il savait maintenant avec certitude qu’il était né pour arrêté l’homme, il était le méchant et lui le gentil, et c’est toujours le gentil qui gagne, il le savait, il l’avait lu dans des livres.
Il regarda Silvia et son ventre se retourna quand il la vit. Les mouches la mangeaient grouillant dans le cou tranché, la peau blafarde, le corps dans une position impossible, cette vision lui redonna du courage, l’homme avait détruit Silvia, leur amour, il le détruira à son tour.
Il la regarda une dernière une dernière fois puis, lui tourna le dos et parti.
Kham
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Kham
297 messages postés
   Posté le 17-02-2007 à 15:42:12   Voir le profil de Kham (Offline)   Répondre à ce message   Envoyer un message privé à Kham   

Salut l'ami

Mon avis. Pas mal, mais attention à l'orthographe, ton texte est criblé de fautes. Utilise au moins un correcteur automatique comme dans Word, puis tu fais un copier/coller. Phrases parfois confuses sinon bonne inspiration...

Allez, je m'y colle rien que pour le plaisir...


Si vous aimez dite le moi s'il vous plait.Je viens juste de rentrer dans ce forum et ce texte est le premier que j'ai d'autres suivront, celui ci n'est que l'introduction.Si vous pouviez mz dire ce que vous en penser cela m'aiderait énormément ou donnez moi des idées, comme vous voulez mais ne repartez pas sans rien dire merci.


Le vent chante et siffle à travers les feuilles des arbres.

Le silence est pesant quand la douce brise de la nuit s’arrête en faisant peséun silence lourd de sens et d’avenir arrêtant le temps et la vie autour de cet endroit magique.

(pesant/pesé - arrête/arrêtant) phrase ambigüe, confuse et pleine de redondances inutiles...


Là ou une vie humaine s’était échappé, envolé, dispersé dans la nuit vers le ciel et son silence.

"silence" à nouveau et fautes d'orthographes

Le cœur battant, Léo tenait dans ses deux mains la tête de sa tendre aimée, de l’amour de sa vie. Il jouait avec une de ses mèches blondes souillées de sang séché qui craquait sous ses doigts. L’esprit vide il attendait que la mort vienne le chercher comme l’avait dit le grand messieurs. Il attendait la tête vidée de toute expression, le regard vague, l’esprit finissant de sombrer dans le gouffre de la folie ou il était tombé.

"La tête vidée" et "l'esprit vide" c'est encore une redondance sinon jolie phrase.


Le jour commença à se lever

Point après " à se lever".


en même temps que lui les mouches attirées par l’odeur du cadavre vombrissaient autour de lui se demandant en même temps si il était autorisé à le manger lui aussi.

"En même temps que lui", pas nécessaire . Ce sont les mouches qui se demandent ou lui ?

Il attendait toujours immobile

Point.

quand le soleil finit d’apparaître, il fut comme réveillé,

Point.


il commença à bouger, et regarda avec effroi la tête livide qu’il tenait entre ses mains,

Point.

il la regarda avec stupeur comme s’il venait de comprendre ce qu’il venait de commettre,

Point

il hurla,
une lame de rasoir se ficha dans sa gorge

Toute seule ?


mais il continua,la douleur s’intensifia jusqu’à devenir insupportable ; il arrêta,

Il arrêta quoi ?


des larmes lui coulait sur les joues nettoyant son visage prenant une couleur grisâtre.

Les larmes ne nettoient pas un visage et pourquoi ce visage devient-il gris ?


L’homme.
L’homme lui avait menti. Il n’ira pas au paradis avec Silvia, non Silvia et lui ne vivront pas heureux au paradis. Silvia était morte et il l’avait tué à cause de lui. Il lui avait de que pour les bons la vie éternelle au paradis était promise. Il était bon, gentil avec sa maman et les quelque bêtises qu’il avait faite, il les avait avoué au messieurs pour après vivre avec Silvia qu’il aimait, il avait tout fait alors pourquoi n’était-il pas au paradis avec Silvia ??

Phrase à resserrer et à revoir.

Il savait que Silvia était bonne car il l’aimait et le messieurs

Le monsieur ou les messieurs (au pluriel) ?


lui avait bien dit que quand deux gens s’aiment

Virgule.

ils sont obligatoirement bons, mon fils, il avait ajouté Léo ne savait pas pourquoi l’homme l’appelait mon fils, il ne l’était pas il en été sûr ses parents
l’avaient abandonné après avoir su ce qu’il avait et ce qu’il étaient.

Phrase ambigüe, peu compréhensible.


Alors pourquoi ? Pourquoi ?
La réponse lui sauta aux yeux : l’homme lui avait menti. L’homme en robe celui qui avait parlé devant pleins de personnes, il l’avait impressionné par son air serein et tranquille, il l’avait cru tout ce qu’il lui avait ses vêtements et sa grande croix en or autour du cou aurait suffi à le convaincre.

Correction : L'homme qui avait parlé devant plein de personnes, lui avait menti. Sa robe (écarlate, immaculée, parsemée de pierres précieuses ou que sais-je...), sa grande croix en or qui pendait lourdement à son cou, et par dessus tout son air serein et tranquille avaient suffi à le convaincre.



L’homme lui avait menti, trompé et avait abusé de lui en lui racontant des mensonges, des fausses histoires pour l’amené à faire des bêtises…

Menti et mensonges sont trop proches

Mais…mais alors… Les autres personnes qui l’écoutaient avec lui et qui croyaient eux aussi

Elles aussi et non eux aussi


à ce que disait l’homme, impressionnés tout comme lui par son air calme

On a déjà dit qu'il était serein, tranquille, on le sait...

et sa croix en or,

On le savait déjà aussi...


ils allaient eux aussi faire des bêtises comme lui

Point.


il bougea pour la première fois depuis qu’il l’avait fait.

Qu'il avait fait quoi ?

Il devait pour le bien de la ville faire arrêter l’homme, le plus vite possible avant que d’autre tombent dans son piège diabolique.

Correction : Pour le bien de la ville, il devait au plus vite faire arrêter cet homme, avant que d'autres ne tombent comme lui dans son piège diabolique.


Il se senti bien

Point.

ce ne lui été pas arrivé depuis longtemps, il avait une mission et il était prêt a tout pour la réussir, il fallait vengé Silvia.


Correction : Cela ne lui était plus arrivé depuis longtemps. Il se sentait maintenant investi d'une mission rédemptrice, purificatrice. Il vengerait Silvia.


Il se leva, ses jambes fléchirent sous son poids, il se rendit compte qu’il était resté immobile très longtemps.

Correction : Lorsqu'il se leva enfin, ses jambes fléchissant sous son poids lui rappelèrent soudain qu'il était resté immobile pendant bien trop longtemps.

Il entendit les oiseaux, le vent qui chantait et sifflait à travers les feuilles des arbres.

Les feuilles sifflaient déjà au début de l'histoire...


Il fit quelques pas et senti des élancements de douleurs dans les jambes.

Correction : Il fit quelques pas désordonnés. Des élancements aigus couraient le long de ses jambes. Mais il n'y pris garde.


Il était prêt pour sa mission

Point.


il savait maintenant avec certitude qu’il était né pour arrêté l’homme, il était le méchant et lui le gentil, et c’est toujours le gentil qui gagne, il le savait, il l’avait lu dans des livres.


Correction : Un peu trop fort comme idée peut-être. Je dirais :

Une détermination fulgurante venait de s'emparer de lui. C'était comme si soudain sa vie entière n'aurait désormais de sens qu'à travers l'arrestation de cet homme. "C'est toujours le gentil qui gagne" se dit-il, se rappelant cet aphorisme naïf que lui répétait souvent sa mère lorsqu'elle lui inventait des récits d'aventure impossibles avant qu'il ne s'endorme. (euh, j'arrête là sinon... )


Il regarda Silvia et son ventre se retourna quand il la vit.
Les mouches la mangeaient grouillant dans le cou tranché, la peau blafarde, le corps dans une position impossible, cette vision lui redonna du courage, l’homme avait détruit Silvia, leur amour, il le détruira à son tour.

Correction : Avant de s'éloigner, il jeta un dernier coup d'oeil au visage sans vie de Silvia. Un haut le coeur remonta à sa gorge. Un essaim de mouches putrides grouillaient déjà dans le pli rougeâtre de son cou tranché. Son corps désarticulé, ratatiné dans une position presque ridicule redoubla son désir de vengeance. Cet homme avait détruit Silvia à tout jamais. Il le détruirait à son tour.

Il la regarda une dernière fois, puis, lui tourna le dos et s'apprêta à partir.

Correction :

Les larmes au fond des yeux, ravagé par un mal intense, il se retourna pour jeter un dernier regard d'adieu à la femme qu'il avait aimée et si souvent serrée dans ses bras, puis il lui tourna définitivement le dos et remonta le sentier étroit à la poursuite du véritable assassin de sa bien-aimée.



Message édité le 17-02-2007 à 15:45:39 par Kham
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